Résumé de l'histoire :

Myron Bolitar est diligenté pour surveiller et protéger l'étoile du basket féminin, Brenda Slaughter, fille de l'ancien mentor de Myron au basket, qui se sent menacée par des coups de fils anonymes. Myron, aidé par son ami Win, plonge alors dans les secrets de Brenda et de sa famille.

Mon avis :

Temps mort est le cinquième roman d'Harlan Coben dont le héros est Myron Bolitar.

Une fois encore, Harlan Coben transpose son intrigue dans l'univers sportif de son héros, Myron Bolitar. On y retrouve les ingrédients habituels et aussi Win l'ami, le confident et l'allié dans les moments les plus difficiles. Au fil des romans, Harlan Coben a su créer un univers avec ses protagonistes récurrents auxquels on s'attache et qu'on aime à retrouver.

Rien de très original dans ces nouvelles aventures mais la machine roule et c'est efficace. On ne boude pas son plaisir sans pour autant y trouver une lecture mémorable.

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Résumé de l'histoire :

Dans le Paris d'Alexandre Dumas, de Baudelaire et de Napoléon III, Céleste Veinart, une pauvre ouvrière brise les chaînes de sa misère pour devenir la Mandragore, la plus célèbre courtisane de l'époque.

Mon avis :

Après deux années d'une enquête minutieuse et passionnée, Alexandra Lapierre reconstitue le prodigieux destin de cette « lionne du boulevard » dont le Tout-Paris de la politique, de la finance et de la littérature s'arrachait la compagnie, les faveurs et l'amour.

A travers le personnage de Célestine et de sa destinée, Alexandra Lapierre revient sur un pan de notre Histoire, celle de la Belle Epoque et fait défiler ici plus de trente ans d'un siècle fastueux et meurtrier où se côtoient la bohême intellectuelle, les aristocrates et les demi-mondaines.

Prix du Premier Roman de la Fondation Paribas, La Lionne du boulevard est un roman historique riche et dense qui tient en haleine le lecteur jusqu'à la dernière page.

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Résumé de l'histoire :

1916, Howbutker, Texas. Au décès de son père, Mary Toliver, 16 ans, hérite de la plantation de coton des Toliver, l'une des familles fondatrices de Howbutker. A charge pour elle de régler les dettes que Vernon Toliver a laissé et de subvenir aux besoins de sa mère et de son frère aîné, qui s’estiment spoliés. Sans doute Vernon avait-il compris que seule sa fille était animée par la même passion que lui pour le domaine familial.

Mais, pour faire vivre les terres de ses ancêtres, Mary devra-t-elle sacrifier son amour pour Percy Warwick, magnat de l'exploitation forestière ?

Confrontés aux trahisons, aux secrets et aux tragédies qui les entourent, renonceront-ils à ce qui aurait pu exister, non seulement pour eux, mais aussi pour les générations suivantes ?

Mon avis :

Leila Meacham, enseignante retraitée vit à San Antonio, au Texas. Les Roses de Somerset est son premier roman.

Dans ce livre haletant aux allures de saga romanesque au souffle puissant, Leila Meacham renoue avec les codes des grandes aventures historiques pour mieux les réinventer.

Traduit dans vingt-cinq pays, Les Roses de Somerset est déjà un succès planétaire. Best-seller du New York Times, Les Roses de Somerset en digne héritier de Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell, nous offre une épopée sudiste digne d'un grand film.

Dans ce roman dense et fouillé, le passé alterne avec le présent. Les destins se croisent et s'entremêlent où les secrets de famille se dévoilent et l’amour triomphe des trahisons. Le lecteur se passionne pour Somerset, personnage à part entière mais aussi bien évidemment pour, Mary Toliver, formidable héroïne, pleine de panache.

Un véritable coup de coeur pour cette saga familiale captivante qui nous l'espérons donnera une suite aux aventures du clan Toliver.

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Résumé de l'histoire :

En épousant Merrill par amour, le jeune avocat Paul Ross est entré dans le clan Darling avec son cortège de privilèges : un appartement sur Park Avenue, un job en or, des week-ends dans les Hampton et des soirées avec le tout Manhattan. Mais bientôt Wall Street plonge et les grandes banques menacent de s'effondrer. Un scandale vient éclabousser la famille Darling, la propulsant sous les feux des médias et la chute sera vertigineuse.

Mon avis :

Issue d'une grande famille de la finance new-yorkaise (son père est mort le 11 septembre dans les tours du World Trade Center), Cristina Alger est diplômée de Harvard et de la faculté de droit de New York. Elle a travaillé comme analyste financière pour Goldman Sachs et comme juriste pour Wilmer, Cutler, Pickering, Hale & Dorr. Park Avenue est son premier roman.

Le temps d'un week-end, Cristina Alger accélère le temps et en un coup de dé fait basculer le destin de cette riche et puissante famille. Comme dans une tragédie antique, le destin est en marche et rien ne pourra l'arrêter.

Cristina Alger pose un regard subtil et implacable sur cette haute société new-yorkaise dont la crise financière de 2008 va faire voler en éclats les certitudes.

S’il lui manque un poil de souffle pour en faire un récit véritablement remarquable, Park Avenue reste, malgré de nombreux termes techniques assez pointus, un très bon roman, et une véritable immersion dans le New York des puissants.

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Résumé de l'histoire :

Annie Butor fut, pendant plus de 18 ans, la belle-fille de Léo Ferré. Pour la première fois, elle rassemble ses souvenirs. Elle retrace l’histoire de l’amour fou qui unit Madeleine et Léo Ferré. Des débuts au succès, elle raconte les galères et les joies, les espoirs et les trahisons jusqu'à la séparation du couple et du reniement de Léo Ferré de ses 18 années passées avec sa femme, sa muse, sa collaboratrice, Madeleine et Annie, celle dont il a voulu qu'elle porte son nom. Ces deux femmes seront au coeur de la naissance de ce poète, à l'origine des créations de chansons qui font partie du patrimoine de la chanson française.

La déchéance et la fin du couple viendra du succès et des flagorneurs qui vont avec, de la passion du couple pour les animaux, des Saint-bernard aux oiseaux en passant par les chimpanzés et d'une femelle chimpanzé prénommée Pépée, littéralement adoptée par le couple. Excès d'amour pour Pépée, excès d'admiration autour d'un Ferré désormais en gloire, excès d'alcool, déchéance de l'amour, c'est la fin.

Mon avis :

Témoin privilégié de cette époque peu connue de la vie de Léo Ferré, Annie Butor réhabilite la mémoire de sa mère et témoigne de l’amour fou qu’ont vécu celle-ci et Léo Ferré, qui avait reconnu: "Je suis né par erreur en 1916, et une seconde fois le 6 janvier 1950, quand j'ai connu Madeleine".

Un témoignage unique, un portrait émouvant, mais sans concession, de ces deux êtres, un mélange de souvenirs personnels et de belles rencontres qui font tomber de son piédestal une icône de la chanson française.

Ce récit en est d'autant plus rare et courageux qu'on en ressent toute la douleur, l'amertume, les blessures, les fêlures et l'amour trahi d'une petite fille.

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