Résumé de l'histoire :

Marié, père d'une petite fille prénommée Héloïse, Hugues vient de réaliser son plus grand rêve : devenir propriétaire d'un hôtel dans l'Upper East Side à New York. Seule ombre au tableau, après 4 ans de mariage, sa femme le quitte pour une rock star. Hugues doit désormais mener de front l’éducation de sa fille et la gestion d’un palace mettant sa vie personnelle de côté tandis qu'Héloïse, grandit au milieu des clients prestigieux et des employés, faisant de l'hôtel Vendôme sa maison, sons refuge et sa vie. Jusqu'au jour où Nathalie, décoratrice d'intérieur va bouleverser la vie de l'hôtel Vendôme mais bien plus encore celles de Hugues et d'Héloïse ...

Mon avis :

Plus de 85 romans publiés en France, 800 millions d'exemplaires vendus dans 69 pays et traduits en 43 langues, Danielle Steel est l'auteur contemporain le plus lu et le plus populaire au monde. Depuis 1981, ses romans figurent systématiquement en tête des meilleures ventes du New York Times. Elle est restée sur les listes des best-sellers pendant 390 semaines consécutives, ce qui lui a valu d'être citée dans Le Livre Guinness des records.

En 2002, Danielle Steel a été faite officier de l'Ordre des Arts et des Lettres. En France, son fan-club compte plus de 29 000 membres.En 2014, elle a été nommée au grade de chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur.

Dans la lignée de ses précédents romans d'amour qui lui ont valu tant de succès, Hôtel Vendôme ne déroge pas à la règle. Une trame simple mais efficace, une histoire d'amour romantique et tourmentée dans l'univers de la haute société avec le happy end traditionnel qui fait fondre le coeur des midinettes. Si vous êtes sensibles à ce type de lecture, Danielle Steel ne vous décevra pas sinon, tournez les talons.

Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à réagir, à laisser vos commentaires et à partager votre point de vue.

Boulogne-Billancourt – le 3 Janvier 2014 – 16H

Le Cirque du Soleil, aujourd'hui internationalement reconnu, a été fondé en 1984 par Guy Laliberté et Daniel Gauthier, tous deux artistes de rue québécois. De la vingtaine de saltimbanques qui le constituaient à ses débuts en 1984, le Cirque du Soleil est une entreprise québécoise de divertissement artistique de haute qualité qui compte 5 000 employés, dont plus de 1 300 artistes, provenant de près d’une cinquantaine de pays différents. Dans "Kooza" 150 personnes issues de 21 pays interviennent.

Véritables shows à l'américaine, essentiellement basés sur les acrobaties, les représentations du Cirque du Soleil ont su attirer un public nouveau, lassé de la pratique traditionnelle du cirque. Créé en 2007, "Kooza" est leur sixième spectacle. "Kooza" revisite, une fois encore, cet art traditionnel en explorant mille et une nouvelles manières de toucher le public au moyen de tours toujours plus grandioses, de costumes toujours plus originaux, de voyages toujours plus dépaysants.

Kooza relate l'histoire de l'Innocent, un solitaire mélancolique qui cherche sa place dans le monde. Il se promène tout le temps avec un cerf-volant de papier, symbole de rêve, qu’il essaie de lâcher, mais il n’y arrive pas. Innocent parcourt le monde et rencontre de drôles de personnages : fantasques, absurdes, qui s’efforcent de tout mettre sens dessus-dessous … Le mot « kooza » lui-même provient du mot sanscrit « koza », qui signifie petite boîte, coffret.

Mis en scène par le clown David Shiner, distingué au Festival mondial du cirque de demain, "Kooza" est un voyage onirique au pays de l'acrobatie et de la poésie.

Véritable machine de guerre, la compagnie impressionne par ses moyens, avec des costumes et des décors toujours très beaux, une grande technicité d'exécution, des numéros traditionnels mais adaptés de manière moderne. Accompagné d'un live band et de ses chanteuses, "Kooza" mêle performances acrobatiques et arts clownesques.

Un cirque moderne de très haut niveau, qui émerveille autant les adultes que les enfants.

Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères, qu'ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes.

La Défense – le 1er Décembre 2014 – 9H35

Avec cette première réalisation, Dan Gilroy offre à Jake Gyllenhaal un rôle titre puissant, qui marquera à n'en pas douter sa brillante filmographie. L’interprétation magistrale de Jake Gyllenhaal incarnant un serial filmeur met à mal le spectateur. Psychopathe obsessionnel, aussi désarmant qu'inquiétant, Lou fait partie des pigistes charognards de l'info qui traquent les faits divers les plus trash, ceux qui feront sensation à l'ouverture des journaux télévisés. La course à l'audimat est dénoncée avec force, avec un cynisme absolu, totalement décomplexée.

La performance de Jake Gyllenhaal, amaigri, insaisissable, sociopathe au masque souriant et obséquieux fait froid dans le dos. La mise en scène rythmée, magnétique et sans concession, la longue apnée nocturne, nauséeuse et captivante, dans le monde de la télé trash américaine, fait de "Night Call", tout comme "Drive" de Nicolas Winding Refn, un film, certes, dérangeant mais majeur.

A travers ce portrait amoral, le film ne s'attaque pas seulement au commerce du voyeurisme ou à l'univers impitoyable du business hollywoodien, il dénonce aussi, cruellement, le discours agressif et aliénant du management, de ceux qui sont prêts à tout, même à vendre leur âme.

Parle si tu as des mots plus forts que le silence, ou garde le silence.