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C'est avec beaucoup de bonheur que je vous ouvre les portes de mon jardin secret. J'espère que vous aurez grand plaisir à vous y perdre et à partager l'amour des mots et celui de la poésie.

Je vous souhaite un bon voyage !

Vanessa

A méditer ...

  La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent.

Albert Camus

30 mai 2016 1 30 /05 /mai /2016 10:51
Robinson Crusoé

Garches – le 26 Avril 2016 – 15H

Le réalisateur, Vincent Kesteloot propose une jolie relecture de l’histoire de Robinson Crusoé avec des personnages attachants et une bonne dose d’humour.

Mardi, le perroquet et ses amis forment une fine équipe aux côtés de Robinson Crusoé. Face au couple de chats et leur progéniture diabolique, Robinson Crusoé va vivre mille aventures tout en cherchant à apprivoiser l’île.

Un bel écrin pour des aventures divertissantes.

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20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 10:23
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur de Harper Lee

Résumé de l'histoire :

Dans une petite ville d’Alabama, à l’époque de la Grande Dépression, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, Jem et Scout.

Avocat intègre et rigoureux, il est commis d’office pour défendre un Noir, Tom Robinson, accusé d’avoir violé une Blanche.

Mon avis :

Couronné par le Prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur s’est vendu à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde entier. Classique de la littérature américaine, il est le roman le plus étudié dans les lycées et le plus cité, avec la Bible, parmi les ouvrages susceptibles de changer une vie.

Dans le contexte des années 1930 aux Etats-Unis, Harper Lee a donc écrit un roman universel sur l’enfance confrontée aux préjugés, au mensonge, à la bigoterie et au mal. Racontée par Scout, une fillette de 8 ans, cette histoire tient du roman initiatique et de la perte de l’innocence et de l’enfance.

Pour ma part, je n’ai guère été captivée par le récit de Harper Lee. Le déroulé de l’intrigue m’a semblé laborieux et assez poussif.

A la fois trop contemplatif et monotone, le rythme ne m’a pas permis d’être happée par l’enjeu du roman.

Dommage puisqu’il me reste de cette lecture un goût d’inachevé et le sentiment d’être passée à côté d’un message à la portée universelle.

Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à réagir, à laisser vos commentaires et à partager votre point de vue.

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19 mai 2016 4 19 /05 /mai /2016 12:47
Le Livre de la jungle

Garches – le 25 Avril 2016 – 14H30

Disney réalise une version live d'un classique : « Le Livre de la jungle ». Le film de Jon Favreau est un remake du dessin animé Disney de 1967 qui lui-même est une adaptation du célèbre recueil de nouvelles écrit par Rudyard Kipling et paru en 1894.

Cette nouvelle adaptation de l’œuvre de Rudyard Kipling est d’une beauté saisissante et se révèle plus proche de l’œuvre originale et plus sombre. Les décors sont somptueux, les personnages très attachants et les aventures et les péripéties du petit d’homme sont haletantes.

Le jeune comédien, Neel Sethi incarne Mowgli avec beaucoup d’émotions et de subtilité. C’est le premier long métrage de ce jeune acteur et pour cette première expérience particulière puisqu’à part le jeune acteur Neel Sethi, tout ce qu’on peut voir à l’écran a été créé par des magiciens des effets spéciaux, c’est un coup de maître.

Grâce au procédé révolutionnaire de « motion capture », le spectateur a l’impression d’être en présence de véritables animaux qui nous paraissent plus vrais que nature.

A noter les doublages impeccables de Lambert Wilson dans le rôle de Baloo, d’Eddy Mitchell dans le rôle du Roi Louie et de Leïla Bekhti dans le rôle de Kaa.

Ce voyage initiatique du petit homme élevé par les loups offre un grand divertissement pour toute la famille dans une magnifique jungle luxuriante. Aventures et émotions garanties !

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19 avril 2016 2 19 /04 /avril /2016 11:49
Shen Yun

Paris – le 17 Avril 2016 – 15H – Le Palais des Congrès

Dans l’univers des shows familiaux, les Irlandais proposent « Riverdance », les Indiens, « Bharati », et les Chinois, « Shen Yun ». « Shen Yun » a pour mission de faire revivre une culture chinoise d'inspiration divine.

Et pour ce faire, le spectacle comprend une vingtaine de scènes de danse classique et ethnique chinoise. Chaque scène de « Shen Yun » prend place au-devant d'un écran digital animé, représentant généralement des paysages comme les plaines mongoles, la Cour impériale, d'anciens villages, des temples ou des montagnes. Certains décors sont fixes alors que d’autres contiennent des éléments en mouvement s’intégrant à la narration du spectacle. Les représentations inspirées de l'histoire redonnent vie à Mulan et au général Yue Fei, et content des histoires contemporaines comme celle de la tragique persécution des pratiquants du Falun Dafa en Chine.

« Shen Yun » est accompagné d’un orchestre philharmonique occidental qui intègre plusieurs instruments traditionnels chinois tels que la pipa, le suona, le dizi, le guzheng, ainsi qu’une variété d’instruments à percussion chinois. Il comprend également des performances solos d’instruments chinois comme Xiaochun Qi à l'erhu.

Entre certaines scènes de danse, des chanteurs d’opéra se produisent sur scène, évoquant parfois des thèmes religieux et spirituels.

Avant chaque tableau, un duo de présentateurs introduit la performance à venir en français, en chinois et en anglais nous donnant des repères culturels ce qui casse le rythme du spectacle d’autant plus que « Shen Yun » ne propose pas de véritable histoire mais se veut être une succession de tableaux ponctués par une fermeture et une ouverture de rideau.

Certes, les costumes sont magnifiques et chatoyants, tout en soie et en mouvement fluide et les danseurs sont d’une grâce et d’une harmonie infinies mais le parti pris artistique est tout à fait discutable et ne permet pas de partir dans une rêverie à laquelle le spectateur aurait pu s’attendre.

De plus, les textes de propagandes religieuses qui soulignent tout le spectacle mettent mal à l’aise le spectateur.

Les fondateurs de « Shen Yun » sont, en effet, des membres du Falun Gong en exil, la troupe étant basée à New York. Le Falun Gong est un mouvement spirituel chinois. Fondé en 1992, ce qigong particulier comptait en 1999 environ 70 millions de pratiquants. Depuis 1999, concurrençant le Parti communiste chinois comme organisation sociale, il fait l’objet d’une répression en Chine qui procède à des arrestations et des emprisonnements accompagnés de torture.

Falun Dafa est le nom officiel du mouvement politico-religieux que le régime de Pékin appelle « la secte Falun Gong ». La Chine a mis hors la loi Falun Gong, mais dans le reste du monde, ses activités sont autorisées. En France, le mouvement ne figure pas sur la liste des sectes de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires).

Lancé en 1994 en Chine par Li Hongzhi, Falun Gong repose sur la pratique du qi gong, une gymnastique traditionnelle qui privilégie les exercices respiratoires. S’y ajoutent la méditation, une mystique bouddhiste et un moralisme rigoureux.

Promue un temps par le Parti communiste, qui y voyait un moyen d’améliorer la santé des Chinois malgré le marasme du système sanitaire, Falun Gong obtient un succès foudroyant et attire des dizaines de millions d’adeptes. Au point que le PCC, parti unique, y voit un rival. En 1999, Falun Gong est persécuté et ses sympathisants, emprisonnés. Le mouvement a dénoncé des exécutions pour alimenter un trafic d’organes, ce qui n’a pu être vérifié par une enquête indépendante. Quant au gourou, Li Hongzhi, il vit aux Etats-Unis depuis 1998 et ne s’exprime plus en public depuis une interview au magazine Time, en 2001, où il se disait convaincu de l’existence des extraterrestres.

Au final, « Shen Yun » ne convainc pas et le spectateur a le désagréable sentiment de s’être fait floué.

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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 18:41
Déjanté de Hugo Hamilton

Résumé de l'histoire :

Dublin - Tiraillé entre son boulot de flic et sa vie de famille, Pat Coyne ne se résout pas aux changements sociétaux, à la violence, à la délinquance et à la drogue qui rongent les rues de son enfance. Il combat sans relâche la bande de Cunningham outrepassant la légalité. Flic ou voyou ? Ses repères s'estompent jusqu’au jour où il franchira le point de non-retour.

Mon avis :

Rien de linéaire dans ce roman noir qui nous emmène dans les méandres et les affres d’un policier incontrôlable, borderline, prêt à dérailler. A son image, ça part dans tous les sens au détriment d’une intrigue consistante.

Difficile de retenir l’intérêt du lecteur. A quoi se raccrocher ? Tout tourne autour du personnage atypique du policier et de sa personnalité. Un peu court alors que le style littéraire n’a rien de transcendant.

En 2004, Hugo Hamilton a obtenu le Prix Fémina pour Sang Impur.

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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 10:16
Tu me manques de Harlan Coben

Résumé de l'histoire :

Dix-huit ans que Kat a perdu son père, flic abattu par un mafieux dans une rue de New York. Et que son petit ami, Jeff, l'a quittée sans explication.

Aujourd'hui, Kat est flic à son tour. Toujours célibataire.

Sa meilleure amie l'inscrit sur un site de rencontres. Kat tombe sur la photo de son ex-fiancé, sous une nouvelle identité.

Les tentatives de Kat pour recontacter Jeff restent sans réponse, mais bientôt la photo réapparaît dans le cadre d'une enquête : des femmes séduites sur internet sont dépouillées avant de disparaître. Elle décide de mener sa propre enquête. C'est également le moment où le meurtrier présumé de son père décide de se rétracter dans ses aveux.

Mon avis :

Harlan Coben délaisse son personnage fétiche, Mickey Bolitar pour mettre en scène les aventures d’une femme flic new-yorkaise.

Avec Tu me manques, le maître du suspense entremêle plusieurs intrigues et parvient, une fois de plus, à nous tenir en haleine tout du long. En suivant trois trames différentes qui s’imbriquent, la mort du père de la policière, les questions autour de l'ex-petit ami Jeff, et la disparition de la mère de Brandon, Harlan Coben joue avec son lecteur au jeu du chat et de la souris.

Seul regret, certains rebondissements prévisibles, des démonstrations décevantes et des postulats qui tombent à plat menant inévitablement à un dénouement bâclé et quelque peu déceptif.

A noter toutefois, la capacité de l’auteur à nous interroger sur les dérives d’une société en mal d’amour, prête à tout pour ne plus être seule.

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12 avril 2016 2 12 /04 /avril /2016 18:39
Kung Fu Panda 3

Vélizy – le 9 Avril 2016 – 13H30

Dreamworks revient avec un troisième opus pour le plus grand plaisir des petits et des grands. Sauf que … Le scénario sommaire de « Kung Fu Panda 3 » manque cruellement de trouvailles, entre gags vus et revus et un manque flagrant de créativité, l’intrigue peine à nous surprendre.

De plus, les truculents personnages de l'opus un et deux, Tigresse, Singe, Mante, Vipère, Grue et compagnie, sont relégués au second plan au profit d'une famille de pandas moins emblématique.

Déception également côté graphisme qui n’est pas parvenu à m’éblouir. L’absence d’explosion de couleurs au bénéfice d’un graphisme plus saturé ainsi qu’une bande-originale moins présente font de ce volet un objet visuel moins festif.

Néanmoins, « Kung Fu Panda 3 » se laisse regarder. Toutefois, la franchise est en danger si les producteurs continuent à se reposer sur leurs lauriers.

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 15:42
Hollywood Dream Machine de Matthew Specktor

Résumé de l'histoire :

Quand Beau Rosenwald débarque à Los Angeles, en 1962, il ne possède rien d'autre qu'un culot monstre. À la fin des années 1970, il a cofondé et dirige la plus prestigieuse agence de stars d’Hollywood.

Son ascension, racontée par Nate, son fils illégitime, va marquer l'industrie du cinéma.

Se croisent alors deux générations d’hommes. Les pères ont réussi malgré d’innombrables revers, mais le déclin les guette. Au début des années 1990, leurs fils, Nate, Severin et Williams, pas encore âgés de 25 ans, avancent à tâtons, cherchent leurs marques, aspirent sinon à la gloire, du moins à se faire une place au soleil.

Mon avis :

Né à Los Angeles, fils d’un agent d’acteurs, Matthew Specktor a travaillé dans l’industrie cinématographique avant de cofonder le Los Angeles Review of Books. Ses nouvelles et critiques ont paru dans le New York Times, GQ, The Paris Review, entre autres. Ce roman, qui a reçu un accueil enthousiaste de la critique, est en cours d’adaptation par Michael C. Hall, héros de la série « Dexter ».

Matthew Specktor nous plonge dans les coulisses d'Hollywood et les antres d’un milieu impitoyable, loin du rêve américain.

Malgré un sujet passionnant, la trame scénaristique alliée à une écriture indigeste ne parvient à aucun moment à décoller.

Foutraque, abscons et prétentieux, Hollywood Dream Machine est une véritable déception.

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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 08:15

Ça n'existe pas les adultes, c'est une attitude. On n'en finit pas de courir après les rêves qu'on a eu quand on était petits.

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29 mars 2016 2 29 /03 /mars /2016 08:33

Le rire est la musique la plus civilisée du monde.

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