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C'est avec beaucoup de bonheur que je vous ouvre les portes de mon jardin secret. J'espère que vous aurez grand plaisir à vous y perdre et à partager l'amour des mots et celui de la poésie.

Je vous souhaite un bon voyage !

Vanessa

A méditer ...

  La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent.

Albert Camus

21 janvier 2016 4 21 /01 /janvier /2016 15:15
La mariée était en blanc de Mary Higgins Clark et d'Alafair Burke

Résumé de l'histoire :

A la veille de son mariage, fastueuse cérémonie prévue à Palm Beach en Floride, Amanda Pearce disparaît mystérieusement en pleine nuit, sans laisser de trace. Cinq ans plus tard alors que cette affaire est classée, une productrice de programme de télé-réalité, Laurie Moran décide de la choisir comme sujet d'émission. Famille, amis, futur époux, témoins, demoiselles d'honneur, tous ont accepté de venir. Assistée de l’avocat Alex Buckley, Laurie Moran se lance dans la reconstitution de la nuit où Amanda s’est volatilisée pour élucider l’affaire. Mais la reconstitution de ce drame soulève de nombreuses questions.

Mon avis :

Après L’affaire Cendrillon, Mary Higgins Clark et Alafair Burke nous entrainent dans une nouvelle enquête de Laurie Moran, productrice de Suspicion, une émission de télé-réalité spécialisée dans la reconstitution de cold cases.

La mariée était en blanc regroupe tous les éléments qui ont fait le succès de la reine du suspens. Argent, pouvoir, meurtre, endroits paradisiaques, histoire d’amour, suspens, les ingrédients favoris de Marie Higgins Clark sont de nouveau réunis dans ce roman policier pour lequel est associée Alafair Burke. Alafair Burke est, quant à elle, considérée comme l’une des nouvelles voix du polar contemporain. Ancienne adjointe du procureur de Portland, et fille du célèbre auteur James Lee Burke, elle enseigne le droit pénal à New York.

Après les très ambitieuses et déceptives tentatives de sortir un nouveau roman talentueux chaque année, le lecteur peut se réjouir de cette nouvelle collaboration qui, même si elle ne renouvelle pas le genre, apporte un plaisir fugace de lecture.

Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à réagir, à laisser vos commentaires et à partager votre point de vue.

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21 janvier 2016 4 21 /01 /janvier /2016 15:12
The Big Short - Le Casse du siècle

La Défense - le 20 Janvier 2016 - 11H

Adapté du livre de Michael Lewis et tiré d'une histoire vraie, « The Big Short - Le Casse du siècle » revient sur la crise des subprimes. Adam McKay nous livre un scénario bavard et statique doté, de surcroît, d’un jargon de spécialistes de la finance qui ne manque pas de perdre le spectateur largué dans les méandres des coulisses d’une crise économique qui a dépassé le monde entier.

Malgré un casting impeccable, difficile de ne pas décrocher dans cet univers abscons et complexe.

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19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 10:50
Snoopy et les Peanuts - Le Film

Rueil-Malmaison – le 16 Janvier 2016 – 14H10

Après « L'Âge de glace : La dérive des continents » en 2012, le réalisateur Steve Martino s’attaque au célèbre chien, Snoopy créé il y a soixante-cinq ans par Charles M. Schulz.

« Snoopy et les Peanuts - Le Film » retrace les aventures de Charlie Brown, le loser si attachant, et de son chien Snoopy.

Dans ce long métrage destiné au jeune public, Steve Martino restitue le trait épuré d’origine qui aligne les vignettes pour traiter des valeurs universelles telles que l’amitié, l’estime de soi, l’acceptation de la différence. Charlie doit croire en sa bonne étoile et ne jamais renoncer à ses idéaux dans ce récit initiatique.

Derrière ce design des plus minimalistes, on peut tout de même regretter une trame scénaristique à minima.

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 13:36
Belle et Sébastien : l'aventure continue

Garches – le 19 Décembre 2015 – 14H45

Après « Jappeloup », Christian Duguay signe un joli récit d'aventures à l'ancienne. Malgré une intrigue convenue, « Belle et Sébastien : l'aventure continue » tient ses promesses avec un casting juste et des décors grandioses qui donnent du souffle à ce récit initiatique sur les liens filiaux.

A noter de nombreuses scènes spectaculaires et esthétiques dans les superbes décors naturels de la Haute Maurienne Vanoise (qui était également le lieu de tournage du premier film), la Vallée de l’Ain pour les scènes en forêt et dans la région d’Oyonnax.

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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 14:46
Amaluna

Plaine de Jeux de Bagatelle – le 29 Novembre 2015 – 15H30

Après le succès remarquable de « Kooza » en 2013, le très populaire Cirque du Soleil, devenu un phénomène mondial, revient avec un de ses nouveaux spectacles, « Amaluna ». Ecrit et mis en scène par la vainqueur du Tony Award du Meilleur Directeur, Diane Paulus, le 33ème spectacle du Cirque du Soleil, « Amaluna » est une célébration de l’amour et un hommage au travail et à la voix des femmes.

Conte de fée inspiré de « La flûte enchantée » de Mozart et de « La Tempête » de Shakespeare, « Amaluna » nous amène sur une île mystérieuse gouvernée par des déesses. Pour marquer le passage à l'âge adulte de sa fille Miranda, la reine Prospéra procède à une cérémonie rituelle en hommage à la féminité, au renouveau et à l'équilibre au cours de laquelle ce précieux héritage sera transmis d’une génération à l’autre. À la suite d’une tempête provoquée par Prospéra, un groupe de jeunes hommes débarquent sur l’île et le cœur de la jeune fille va bientôt chavirer pour un valeureux prétendant, le beau Roméo, ce qui rend fou de jalousie son ami Cali, mi-lézard, mi-homme.

Mais l’amour du jeune couple sera mis à l’épreuve et ils devront surmonter de redoutables obstacles avant de trouver le chemin de la confiance mutuelle, de la loyauté et de l’harmonie, prétextes aux numéros mettant en valeur les arts du cirque.

Le grand show, entre poésie et concert de rock, se déploie, avec des artistes ultra costumés, qui rivalisent de prouesses acrobatiques (mât chinois, jeux icariens, planche sautoir, courroies aériennes …).

Au final, malgré des numéros d’une indéniable qualité et un penchant pour l’esthétisme fort réussi, le dernier-né de la troupe de Guy Laliberté n’est pas à la hauteur des attentes. Par-ci par-là, quelques bémols : les numéros répétitifs du duo de clowns pas drôles et la composition minutieuse d'un extraordinaire mobile à partir de treize feuilles de palmier, par une charmante sylphide faisant preuve d’un incroyable contrôle de soi mais se révèle assez ennuyeux pour le spectateur.

Dans l’ensemble, une impression de déjà-vu qui nous fait se demander si le Cirque du Soleil est encore capable de se réinventer. Mais avec une telle prouesse technique et artistique, la compagnie a encore de beaux jours devant elle à condition de se renouveler.

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3 janvier 2016 7 03 /01 /janvier /2016 09:00

Pour retrouver sa jeunesse, il n'y a qu'à recommencer ses folies.

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1 janvier 2016 5 01 /01 /janvier /2016 11:05

Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns.

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 17:32
007 Spectre

Versailles – le 30 Novembre 2015 – 10H30

Après le magistral et mémorable « Skyfall », Sam Mendes reprend, pour notre plus grand plaisir les rênes de l’incroyable barnum qu’est James Bond tandis que Daniel Craig renfile, pour la quatrième fois, le très sexy costume du plus célèbre des agents secrets, le bien nommé 007.

Avec « 007 Spectre », le vingt-quatrième film des aventures de James Bond, le spectateur est plongé dans l’ambiance dès la scène d’ouverture du Jour des Morts à Mexico

Il faut le dire, le duo que forme Sam Mendes à la réalisation et Daniel Craig au casting est le point fort du film et fait tout le sel des aventures trépidantes et flamboyantes de James Bond. Sur fond de terrorisme, cet opus pose un regard intéressant sur les réponses que peuvent y apporter nos sociétés occidentales et sur les garanties en matière de pouvoir et de liberté que ces réponses nécessitent. Tandis que la classe et le magnétisme de Daniel Craig ajoute au glamour de la franchise.

Léa Seydoux et Monica Bellucci peinent à exister en James Bond girls et font bien pâle figure face à leurs prédécesseurs, notamment lorsqu’on se souvient de la géniale incarnation et interprétation de la mystérieuse et vénéneuse, Eva Green dans « Casino Royale ». Elles ne sont tout simplement pas du niveau de Daniel Craig. Enfin, Christoph Waltz en super-méchant ne tient pas la route en comparaison d’un Javier Bardem génial en psychopathe tordu de « Skyfall ».

Malgré ces petites réserves, courez voir « 007 Spectre », vous en aurez plein les yeux et ferez un extraordinaire voyage auprès du plus séduisant des agents secrets.

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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 08:41
Amore 14 de Federico Moccia

Résumé de l'histoire :

Rome. Carolina est une adolescente de quatorze ans. Elle confie tout à son journal intime : ses doutes et ses espoirs, ses relations avec ses meilleures copines et les disputes familiales, ses coups de cœur et ses désillusions …

Mon avis :

Avec candeur et tendresse, Federico Moccia propose une vision régénérante de réalisme et de fraîcheur qui dit tout sur l'allégresse des premiers troubles de l'adolescence mais aussi des désenchantements.

Un voyage à la découverte des sentiments et un retour sur notre propre adolescence qui nous fait sourire.

Le lecteur suit avec beaucoup d’affection Carolina ainsi que l’ensemble des personnages profondément humains et attachants auxquels chacun pourra s’identifier.

Un roman empathique qui renoue avec notre part d’enfance et de romance.

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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 08:38
Féroces de Robert Goolrick

Résumé de l'histoire :

En Virginie, dans la bourgeoisie des années 1950, Les Goolrick cultivent l’illusion d’une bonne société sudiste vivotant dans une époque frivole et insouciante tandis que de lourds secrets détruisent à petit feu une famille et des enfants.

Mon avis :

Terriblement violent par son propos, « Féroces » est loin d'être un livre de rancœur ou de haine, il met en lumière l'ambivalence des sentiments d'un enfant débordant d'amour et d'admiration pour des parents inadaptés.

Pour son premier roman, Robert Goolrick raconte son enfance meurtrie. Chez les Goolrick, tout est histoire d’apparences à l'extrême pour donner l'image d'un couple parfait, à l'élégance exquise, aux manières raffinées et aux conversations brillantes. L’envers du décor est tout autre. Dans ce récit ouvertement autobiographique qui évoque une enfance fracassée entre alcool, larmes, violence et inceste, le traumatisme est terrible.

À l’instar de ce que ses parents lui ont fait subir, l’auteur n’épargne pas son lecteur, le malmenant sans répit.

Récit indispensable pour une lecture néanmoins abrupte.

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