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C'est avec beaucoup de bonheur que je vous ouvre les portes de mon jardin secret. J'espère que vous aurez grand plaisir à vous y perdre et à partager l'amour des mots et celui de la poésie.

Je vous souhaite un bon voyage !

Vanessa

A méditer ...

  La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent.

Albert Camus

23 septembre 2007 7 23 /09 /septembre /2007 20:02
La vraie grandeur consiste à être maître de soi-même.
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21 septembre 2007 5 21 /09 /septembre /2007 11:31
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Je m’étais promis
 

De ne jamais abdiquer.

 

D’y croire encore et toujours

 
De vous attendre
 

Mais, je n’ai plus le temps

 

De tendre mes mains vers vous

 
 
 

Dieu sait que j’ai lutté

 

Dieu sait que j’ai prié

 
J’ai espéré
 
J’y ai cru
 

Mais je suis lasse et n’ai plus de volonté

 
 
 
Aujourd’hui,
 
Le temps est venu
 
De me faire oublier
 
De reposer en paix
 
 
 
Une dernière fois,
 

Je penserai à la vie

 

Que je laisse derrière moi

 

A celle que j’aurai pu construire

 

A celui qui m’aura épaulée

 

Jusqu’au bout, en dépit de moi

 
 
 

Mais, que dire ? Que faire ?

 
Je ne demande plus
 

Que l’on me comprenne

 
Que l’on m’aime
 
 
 
Dans une seconde,
 
Je glisserai
 

Le canon froid dans ma bouche

 
Je tire le rideau
 
 
 
Nul besoin de venir
 

Pleurer sur ma tombe

 
De mon vivant
 
Vous étiez sourds
 

A mes appels, aux multiples signaux

 
Et ma mort
 
N’y changera rien
 
 
 

N’ayez plus de regrets

 

Pour moi, tout est fini

 

Alors faites comme moi

 

Et ravaler vos larmes

 
Il est trop tard
 

Pour se dire si j’avais su

 
 
 

Conservez vos œillères

 
Continuez ainsi
 

Pour étouffer votre douleur

 

Si votre cœur vous le permet


Paris, le 21 Septembre 2007
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16 septembre 2007 7 16 /09 /septembre /2007 10:47
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Tel un cratère sans fond,

 

Mon estomac me dévore les entrailles

 

Refluant les limites de l’insoutenable

 

Les tripes au bord des lèvres,

 

Je ravale mes nausées

 

Prête à rendre les armes

 
 
 

D’une main hasardeuse,

 
Je tâte mes reins endoloris
 

Qui jour après jour, inlassablement

 

Mettent à mal ma résistance

 
 
 

Mais, je veux tenir bon

 
Coûte que coûte,
 
Vaille que vaille
 

Je m’accroche à cette chienne de vie

 

Qui me file entre les doigts

 
 
 
Des os aux tendons,
 

Tout me brûle et me lancine

 

Transformé, mon visage

 

N’est plus qu’un masque grimaçant

 

Soumis aux affres de la douleur

 
 
 

Que l’on m’assomme de drogues

 

Ou d’un quelconque expédient

 

Que ces tourments incessants

 

Disparaissent à jamais !

 
 
 
Entre deux délires,
 

Baignant dans ma sueur,

 
Je saisis le flacon
 
Et d’une main tremblante
 

Enfourne les cachets

 
Roses et blancs,
 
L’un après l’autre
 

Puis tous en même temps

 
Satanés bonbons !
 
 
 

Plongée dans un coma artificiel,

 

Délivrée des douleurs

 

De la vie terrestre,

 

Je m’en remets à toi, Seigneur

 

Puisses-tu me rendre la vie plus douce


Paris, le 16 Septembre 2007
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16 septembre 2007 7 16 /09 /septembre /2007 09:22
Ecouter, c'est pourtant tout ce qu'il y a de mieux pour bien entendre.
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21 août 2007 2 21 /08 /août /2007 15:21
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Paris, le 20 Juillet 2007 à 19H50 – Quartier de l’Opéra
 
Tout droit inspiré des tragiques événements du 11 Septembre 2001, le dernier opus de la saga « Die Hard » le bien nommé « Die Hard 4, retour en enfer » met l’accent sur l’actualité liée au terrorisme et les affres d’une société (américaine ?) qui ne connaîtra plus jamais le repos.
 
Bruce Willis alias, l’inspecteur John McLane reprend donc du service, affublé cette fois-ci d’un hacker désorienté incarné par Justin Long.
 
De l’action, toujours de l’action, « Die Hard 4, retour en enfer » cumule les cascades les plus ahurissantes, nous laissant à peine le temps de recouvrer notre souffle.
 
Ultra efficace, « Die Hard 4, retour en enfer » est la quintessence du film d’action dans lequel le héros brave tous les dangers avec une efficacité et une jouissance déconcertantes.
 
Alors ne boudons pas notre plaisir et recommandons cet épisode survitaminé à tous les fans du genre !
 
Paris, le 21 Août 2007

 

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20 août 2007 1 20 /08 /août /2007 15:32
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Paris, le 18 Août 2007 à 15H30 – Quartier de l’Odéon
 
« Planète Terreur, un film Grindhouse » est le second volet de la saga Grindhouse. C’est donc au tour de Robert Rodriguez de rendre hommage aux séries B et Z, films qui ont bercé la jeunesse du futur réalisateur de « Desperado » ou bien encore de « Une nuit en enfer », et de son complice et ami, Quentin Tarantino.
 
Alors que Quentin Tarantino avait choisi d’explorer le "slasher road-movie" meurtrier dans « Boulevard de la mort, un film Grindhouse », Robert Rodriguez s’attaque, avec « Planète Terreur, un film Grindhouse », aux films de zombies.
 
Là où Quentin Tarantino avait réussi à redonner des lettres de noblesse aux films de séries B, Robert Rodriguez a méchamment échoué.
 
Toujours plus trash, toujours plus gore, telle pourrait être la devise de « Planète Terreur, un film Grindhouse ».
 
Zombies tous azimuts, pustules purulentes qui vous éclatent en pleine poire, hémoglobine en veux-tu en voilà, personnages débiles et débilitants, rien ne va plus chez Mister Rodriguez. A l’instar du personnage campé par Quentin Tarantino, à la limite entre l’adolescent prépubère et le vieillard libidineux, Robert Rodriguez laisse libre cours à ses fantasmes les plus refoulés.
 
Saturé de bruit, d’images et de sang, le spectateur, à deux doigts de la nausée, en a jusqu’à plus soif et se doit de faire montre d’un courage exemplaire face à cette débauche de vulgarités.
 
Clairement, Robert Rodriguez a fait de « Planète Terreur, un film Grindhouse », de la série B de série B, c’est dire la quintessence qui s’en dégage !
 
Paris, le 20 Août 2007

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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 19:56
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Je n’ai que ça en tête

 
Il faut que tu paies
 

Que tu te noies dans ton sang

 

Pour apaiser ma vengeance

 
 
 
Nos amours enflammées
 
M’ont à ce point courroucée
 
Qu’il me faille t’appliquer
 
Un châtiment dont seule j’ai le secret
 
 
 
Une torture insoutenable
 
A la hauteur de l’affront
 
Venu bafouer
 
Notre amour ardent et passionné
 
 
 
Tu m’as trahie
 
Tu m’as humiliée
 
Rouge de colère
 
Et de fureur mêlée,
 

Je te hais autant que je t’aime

 
 
 

Et cette chaleur cuisante

 

M’envahit toute entière

 

Me dévore et me ravage

 

Comme un soleil trop brûlant

 
 
 

Dans mon poing rageur,

 
Je tiens l’arme
 
Qui fera couler
 
Ton sang
 
 
 

Celui de la fourberie

 

Celui de la duplicité

 
Et de la honte
 
 
 

D’un regard sibyllin,

 

Tu te glisses près de moi

 

Tu m’offres tes lèvres

 

Rouge cerise éclatant

 
 
 
Je les frôle
 
Je les lèche
 
Je les avale
 

La tentation est trop pressante

 
 
 
L’heure est venue
 

De nous aimer à la folie, passionnément

 
Viens donc, mon ami
 

Et tends-moi ta gorge

 

J’y plongerai ma dague

 

Et me délecterai de tes plaies sanglantes


Paris, le 16 Août 2007
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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 14:52
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Paris - le 29 Juillet 2007 – 14H10 – Quartier des Champs Elysées
 
Après le très décevant « Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl », second volet de la trilogie, « Pirates des Caraïbes, jusqu’au bout du monde » sent définitivement le réchauffé voire le roussi !
 
Une fois de plus, Gore Verbinski cherche, à tout prix, à complexifier l’intrigue nous emmenant dans des méandres narratifs aussi factices que superficiels. La rupture est consommée provoquant chez le spectateur agacement et ennui mortel.
 
Même l’excellent Johnny Deep ne nous fait plus rire, c’est dire ! Le personnage du Capitaine Jack Sparrow n’évolue pas et fait de ce pirate une marionnette méprisable dont on se moque  éperdument.
 
« Pirates des Caraïbes, jusqu’au bout du monde » est la fin d’une trilogie prometteuse qui nous laisse, à coup sûr, un arrière goût d’inachevé.
 
Paris, le 16 Août 2007

 

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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 13:49

Rêve ta vie en couleur, c'est le secret du bonheur.

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15 août 2007 3 15 /08 /août /2007 08:02
Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur.
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