Résumé de l'histoire :
"La vie est une immense cascade. Je voudrais rester figée au sommet", déclarait Jayne Mansfield en 1956 au
magazine Life, qui, à l'actrice vedette de La Blonde et moi, consacrait sa couverture. Elle était au sommet de la gloire. Elle avait 23 ans et était décidée à devenir une icône, l'égale d'une
Jean Harlow, la rivale de Marilyn Monroe. Onze ans plus tard, dans la nuit du 29 Juin 1967, la pin-up blonde mourait à trente-quatre ans sur une route de Louisiane, sa Buick bleu métallisé
littéralement écrasée par un gigantesque semi-remorque. "Je crois aux entrées flamboyantes", avait-elle déclaré un jour, au temps de sa splendeur naissante. Désastreuse et crue fut sa
sortie de scène, mélange de tôle pulvérisée, d'os brisés et de chair éventrée.
Mon avis :
Jayne Mansfield 1967 n'est pas une biographie de la starlette des années 50-60 puisque de la vie de Jayne
Mansfield, on saura au final fort peu de choses, si ce n'est quelques fragments, quelques moments de ses dernières années avant cette mort tragique qui la rendit immortelle.
Simon Liberati porte ici un regard très distancié sur le crépuscule de l'âge d'or hollywoodien. Malheureusement, il
signe une oraison funèbre sans grand intérêt et donne, par la même occasion, une image de l'actrice fort peu flatteuse et sympathique.
Avec Jayne Mansfield 1967, Simon Liberati obtient le Prix Femina 2011. Incompréhensible tant l'exercice de
style tient plus de l'article de presse que d'une véritable oeuvre littéraire !
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