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C'est avec beaucoup de bonheur que je vous ouvre les portes de mon jardin secret. J'espère que vous aurez grand plaisir à vous y perdre et à partager l'amour des mots et celui de la poésie.

Je vous souhaite un bon voyage !

Vanessa

A méditer ...

  La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent.

Albert Camus

19 avril 2006 3 19 /04 /avril /2006 17:50

Paris, le 2 Avril 2006 - 13H45 – Quartier de l’Odéon
 
Stephen Gaghan a voulu faire un film proche du documentaire. Pourquoi pas ? Malheureusement, son intrigue placée sous le fond de guerres pétrolières, est complexifiée par une réalisation et un montage à n’y rien y comprendre, laissant le spectateur dans la déroute la plus totale. Dommage, à ce petit jeu Stephen Gaghan perd un à un ses spectateurs gâchant ainsi son casting.
 
Les scènes s’enchaînent les unes après les autres sans jamais réellement s’imbriquer. Trop vite coupées ou mal montées, le spectateur ahuri et hébété se perd dans ce véritable sac de nœuds !
 
Bref, un peu plus de simplicité dans cette réalisation bien alambiquée aurait donné davantage de force et de pertinence aux propos de Stephen Gaghan qui tenait pourtant là un sujet fort et intéressant.
 
Pour notre plus grand désarroi, le réalisateur a fait de « Syriana » un ensemble bien pompeux et trop confus, mêlant d’obscures et impénétrables intrigues dans lesquelles la pauvre spectatrice que je suis, s’est misérablement perdue.
 
Paris, le 19 Avril 2006
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18 avril 2006 2 18 /04 /avril /2006 19:34

Paris – le 7 Avril 2006 – 19H55 – Quartier du Châtelet
 
La Planète Blanche est un territoire incertain : ni tout à fait la terre ni tout à fait la mer.
 
« La Planète Blanche » ouvre son bal sur le seigneur de ces lieux, une ourse accompagnée de ces deux petits qu’elle vient de mettre au monde et à qui elle va apprendre la vie, la survie sur cette banquise désertique.
 
Le subtil dosage entre les commentaires et les voix chantées permet aux spectateurs d’admirer avec émotion, les créatures de légende comme le narval, le bélouga, la baleine boréale ou bien celle à bosse, la pieuvre géante, le déconcertant phoque à capuchon, ou bien encore l’incroyable migration du peuple caribou.
 
La beauté de ces images parle d’elle-même et nous fait découvrir avec un enchantement enfantin un monde où la vie a su s'adapter malgré les conditions extrêmes.
 
A l’image de « La Planète Bleue », ce documentaire animalier nous offre la possibilité de contempler une palette d’animaux parfois insoupçonnés, tour à tour drôles, cruels, difformes mais toujours surprenants.
 
« La Planète Blanche » clôt son bal sur l’ours blanc. Ce dernier tente de se remettre sur ses pattes alors que la glace se rompt. Cette ultime image tire le signal d'alarme sur nos responsabilités et les conséquences de nos actes.
 
Alors écoutons la complainte du seigneur de ces lieux : « Ne perdons pas le Nord ! ».
 
Paris, le 18 Avril 2006
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8 avril 2006 6 08 /04 /avril /2006 15:14
Paris – le 7 Avril 2006 – 19H55 – Quartier du Châtelet
 
Après avoir entr’aperçu la bande annonce de « Wu ji, la légende des cavaliers du vent », je m’attendais à une épopée lyrique dans la lignée du magnifique et inspiré « Le Secret des Poignards volants ». Bien mal m’en a pris !
 
Malgré une débauche de décors, de costumes et de couleurs flamboyantes, l’épopée tant attendue manque de souffle et vire rapidement au ridicule. Chen Kaige nous propose une réalisation "too much" et un scénario un brin trop naïf. Des images puant le préfabriqué, vagues resucées de ce que l’on a mille fois déjà vu, avec en prime, décors en carton pâte et images de synthèse à ne plus savoir qu’en faire, voilà ce que nous offre ce « Tigre et Dragon » outré. N’est pas Ang Lee qui veut ! C’est sans doute cela que Chen Kaige tient à nous prouver.
 
Là où on attendait esthétisme, pureté, lyrisme, poésie, sentiments et émotions au service de cette fable onirique, on nous rabâche de grossiers effets spéciaux. Eh oui, ne jamais oublier ce dicton frappé au coin du bon sens : « Trop d’effets spéciaux tuent les effets spéciaux » !
 
Des idées, certes, mais visiblement, « Wu ji, la légende des cavaliers du vent » n'est pas à la hauteur de ses ambitions. Chen Kaige s’est, sans doute, laissé dépasser par l’ampleur de son projet et n’a su que se complaire dans une excessivité douloureuse, à laquelle il enlève toute lueur d’envolée poétique.
 
 
Paris, le 8 Avril 2006
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7 avril 2006 5 07 /04 /avril /2006 13:17

Paris – le 6 Avril 2006 – 17H25 – Quartier de l’Odéon
 
Allez, inutile de vous faire mariner inutilement, le très attendu « Basic Instinct 2 » n’aura pas été à la hauteur de nos espérances. Eh oui, ça fait mal mais c’est comme ça !
 
Le film est à l’instar de la scène d’ouverture, c’est-à-dire des plus grotesques. Michael Caton-Jones nous a concocté une intrigue sans surprise ni intérêt pour le spectateur. Réalisation, scénario dialogues, jeu des acteurs, tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce second volet, un film navrant, tombant à bras raccourcis dans la gaudriole et le pathos.
 
Désincarnée, Sharon Stone, ex icône de la femme fatale par excellente est devenue une bien pâle figure : artificielle et inexpressive. Lifting, botox et silicone ne seront d’aucun secours pour la belle, privant l’actrice de toute expressivité. Elle n’est plus qu’une caricature de son propre personnage et nous fait tristement penser à un pantin désarticulé dont on aurait maquillé les traits à outrance et qui n’aurait rien d’autre à offrir que de douloureuses grimaces.
 
Quant à David Morrissey, il est d’une insignifiance rarement atteinte. Inexistant de bout en bout, il n’est pas le personnage et ne possède en rien l'animalité et l'ambiguïté d’un Michael Douglas qui faisait toute la force de son interprétation.
 
Seuls le mystère et la classe de Charlotte Rampling permettent à l’actrice de s’en sortir avec les honneurs. Dommage d’ailleurs que ces apparitions à l’écran soient aussi rares.
 
Un peu plus de simplicité et de naturel de la part de Miss Stone, de travail, d’originalité et d’ambition de la part de Michael Caton-Jones n’auraient sans nul doute pas nui à ce deuxième opus ! Dommage, vraiment dommage …
 
Paris, le 7 Avril 2006
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12 février 2006 7 12 /02 /février /2006 13:28
Paris – le 20 Janvier 2006 – 13H50 – Quartier de Montparnasse
 
« Orgueil et Préjugés » est une adaptation classique d’un des romans de Jane Austen. Le film mêle agréablement émotions et sentiments romantiques exacerbés.
 
Toutefois, on pourrait reprocher à « Orgueil et Préjugés », son approche un peu trop lisse et conventionnelle.
 
« Orgueil et Préjugés » est un joli film doté d’une grâce incontestable (la prestation de Keira Knightley y contribue beaucoup), la mise en scène est élégante, les dialogues sont riches et percutants mais cette adaptation demeure sans surprise.
 
Il faut toutefois reconnaître les prestations brillantes de Donald Sutherland, le père des « jeunes filles à marier » (on pense d’ailleurs immédiatement aux « Quatre filles du Dr March ») ainsi qu’à Keira Knightley, en parfaite jeune femme romantique et rebelle, et leur attribuer une mention spéciale.
 
Mais le grand gagnant est … roulement de tambours … : Matthew Macfayden ! Palme de l’acteur le plus mou du bulbe ! Allez, dis-nous Matthew, quel est donc ton secret pour faire tomber dans tes filets la pétulante et charmante Keira ? Car voici un acteur dépourvu de charisme, à qui on aimerait bien botter les fesses, histoire de le voir réagir. Franchement Keira, pas très folichon ce pâlichon bellâtre ? Mais bon, l’amour a ses raisons que la raison ignore … L’adage prend ici tout son sens.
 
Alors, certes, on ne boude pas son plaisir en allant voir « Orgueil et Préjugés »mais il manque un je ne sais quoi qui nous laisse sur notre faim.
 
Par contre et pour notre plus grand bonheur, le réalisateur Joe Wright, dont c’est le premier long métrage, évite l’écueil de la mièvrerie. Et c’est tout à son honneur !
 
Paris, le 12 Février 2006
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11 février 2006 6 11 /02 /février /2006 20:34
Paris – le 5 Février 2006 – 16H30 – Quartier de Montparnasse
 
Pour tout vous avouer, j’entretiens une relation toute personnelle avec « The Constant Gardener ». Mais non ne partez pas…Je vous entends déjà m’incriminer. Attendez, laissez-moi quelques secondes et vous verrez. Mais oui, on va en parler de « La Véritable Histoire du Petit Chaperon rouge ».
 
Mais pour cela, il faut en passer par « The Constant Gardener ». Ah et ne râlez pas, OK ? Vous allez tout savoir sur la véritable histoire de la fausse vraie séance de « La Véritable Histoire du Petit Chaperon rouge ».
 
Vous êtes prêts ? Alors, voilà, l’histoire, non pas celle du « Petit Chaperon rouge », la mienne ! Il y a de cela quelques semaines, je voulais voir ce fameux film, « The Constant Gardener » ! Mais n’ayant pas de programme sous la main, j’entreprends ma petite recherche via le Web.
 
Renseignements en main, je me présente au guichet de mon cinéma préféré et là manque de bol, la séance avait commencé depuis trois quarts d’heures ! Ce site de m…dont je vous épargne le nom s’était planté. Imaginez alors mon amère déception. Allez, imaginez, je vous laisse quelques secondes. Ca y est ? Vous visualisez ? Désespérée, il fallait toutefois se rendre à l’évidence, je ne verrai pas ce film dans l’immédiat. Mais qu’à ne cela tienne, je saurai bien prendre ma revanche un autre jour.
 
Le jour J était arrivé et cet après-midi-là, j’avais rendez-vous avec « The Constant Gardener ». Enfin presque ou plutôt non ! Toujours pas !!!! J’étais bien au sein de mon cinéma chéri et je ne rêvais pas. Les écrans m’indiquaient sans ménagement : « complet pour « The Constant Gardener » ! Ce serait-on ligué contre moi ? Existerait-il un groupuscule qui boycotterait le film usant de mille et un subterfuges pour que les spectateurs ne puissent accéder à la dernière adaptation cinématographique de John Le Carré ? Je me pose la question, mes chers amis …
 
Bref, autant vous dire que je n’étais pas vraiment ravie de devoir choisir encore une fois un film de substitution. Déjà que la fois précédente avait été dure à encaisser ! Pour ceux qui suivent assidûment mes articles, ils comprendront que je n’avais point goûté aux plaisirs en tous genres de « Saw II ».
 
Voici les raisons pour lesquelles, je me suis trouvée embarquée dans cette aventure : « La Véritable Histoire du Petit Chaperon rouge », version hallucinée du « Petit Chaperon rouge ».
Comme vous l’aurez aisément compris, je n’étais pas dans les meilleures conditions psychologiques pour apprécier cette option de substitution.
Alors, comment dire … Le film rame et cherche tant bien que mal à se mettre en place : le ton n’accroche pas, les gags tombent à plat, le tempo manque de rythme. Résultat : je suis tombée dans les bras, non pas du grand méchant loup, mais de Morphée !
 
Puis, je ne sais par quel miracle, j’ai recouvré mes esprits et me suis réveillée avec l’image d’une grand-mère complètement loufoque, irrévérencieuse, déboulant sur les pistes enneigées. Là, j’avoue que ça m’a fait tout drôle et que les scènes étaient franchement cocasses. Je me suis dit : « tiens, luttons contre cet assoupissement. Il y a peut-être des choses intéressantes dans cette libre adaptation ».
 
« La Véritable Histoire du Petit Chaperon rouge » se situe entre le « Cluedo et « Columbo » tout en lorgnant sur les recettes de « Shrek ». Sa spécificité est son point de vue original, sa structure narrative, l’histoire étant vue sous l’éclairage des différents personnages. Le tout donne une dynamique et une inventivité intéressantes. De ce que j’ai pu voir du film, ce dernier semblait plutôt bien fonctionner. Eh oui, je vous rappelle, je n’ai vu que partiellement le film et ne puis ainsi vous donner qu’un avis relatif !
 
Mis à part une mise en place difficile et la chanson « Rouge est bleue » qui frise le ridicule, je pense que « La Véritable Histoire du Petit Chaperon rouge » a de nombreux atouts et mérite un rattrapage lors de sa sortie en DVD. Restons fair-play et ne soyons pas ingrate ! Il aura une seconde chance !
 
Ah, sinon je n’ai toujours pas réussi à voir « The Constant Gardener » ! Vous savez ce fameux film dont certains parlent tant …
 
Paris, le 11 Février 2006
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4 février 2006 6 04 /02 /février /2006 18:11
Paris – le 1er Février 2006 – 19H40 – Quartier de Montparnasse
 
Pour être tout à fait honnête, après 27 ans d’absence, tout le monde attendait au tournant la fine équipe du Splendid.
 
L’infernal tapage médiatique en boucle depuis des mois me faisait craindre le pire. Je m’attendais donc à un piètre résultat.
 
Force est de reconnaître que je n’ai pas boudé mon plaisir. J’ai eu un grand bonheur à retrouver cette bande de joyeux lurons, riant de concert et de bon cœur aux franches parties de rigolades de cette réjouissante troupe.
 
Fidèle à l’esprit des précédents « Bronzés », les situations cocasses et répliques drolatiques s’enchaînent sans véritable temps mort.
 
Mention spéciale pour Christian Clavier, magistral dans cette comédie enlevée et inspirée.
 
Petit bémol quant au duo Dominique Lavanant – Martin Lamotte qui ne reste, à mon sens, qu’un prétexte pour réunir toute l’équipe sans oublier personne. Dommage pour ces acteurs qui méritaient mieux.
 
L’épisode relatif à la « bête » n’apporte également pas grand chose à l’histoire et aux situations comiques. Patrice Leconte aurait pu couper au montage toute cette partie durant laquelle le film flotte un chouïa.
 
Mis à part, ces quelques loupés, « Les Bronzés 3, amis pour la vie » sera un retour en fanfare. Ce troisième opus relève le défi haut la main ! Et on attend désormais avec impatience le quatrième volet.
 
A nouveau réunie, l’équipe du Splendid fait des étincelles. Il faut bien dire que la complicité rend chacun des acteurs plus performants que jamais ; osmose oblige. L’ensemble deviendra culte, c’est certain !
 
Ah oui, j’allais oublier, j’aurai volontiers jouée les prolongations en compagnie de ces joyeux drills. Je peux avoir un peu de rab, z’iou plait !
 
Paris, le 4 Février 2006
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3 février 2006 5 03 /02 /février /2006 22:16
Paris – le 3 Février 2006 – 13H45 – Quartier de St Lazare
 
Au fil de « Le Chien jaune de Mongolie », on suit avec un immense ennui, la vie quotidienne à la fois simple et rude d’une famille Mongole.
 
J’avoue être restée hermétique à ce nouveau type de cinéma indépendant. J’imagine que c’est affaire de goût et de sensibilité.
 
La philosophie bouddhiste à laquelle le réalisateur aurait pu nous intéresser, m’a complètement échappé. Engluée dans un scénario bien trop terre à terre et morne, cette philosophie de vie ne transparaît pas à l’écran. L’histoire se traîne en longueur et manque terriblement de vie.
 
Preuve de mon profond ennui : la rédaction de ces quelques commentaires durant la projection du film ! Tout un programme comme vous pouvez vous l’imaginer …
 
C’est bien joli de filmer la vie journalière d’une famille d’un autre temps, adoptant d’autres mœurs que ceux d’un monde dit « moderne », de s’appesantir sur les plaines mongoles, les moutons, chèvres et animaux en tout genre mais tout ceci ne fait pas un film. Il manque juste d’une trame un peu plus folichonne à cette histoire pour que le spectateur puisse y prendre goût. A moins que le message ne me soit totalement passé au-dessus du ciboulot, ce qui est fort possible après tout. Il me semble néanmoins que « Le Chien jaune de Mongolie » tient plus du documentaire franchement longuet que du film. Mais, le débat reste ouvert …
 
Paris, le 3 Février 2006
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2 février 2006 4 02 /02 /février /2006 11:37
Paris – le 1er Février 2006 – 15H20 – Quartier de Montparnasse
 
Du rythme, de l’action, une bonne dose d’humour, des situations cocasses (notamment les gimmicks « roulages de patins »), une bande originale sympa, « Bandidas » est un film gentiment distrayant.
 
Le trio de personnages hétéroclites, les charmantes Salma Hayek et Pénélope Cruz en tête, plus jolies que jamais, ne sauvera pas un scénario un peu trop simpliste. « Bandidas » tire pourtant habilement sur les ficelles de « Le masque de Zorro et « La Légende de Zorro », tourné façon western mais cela ne suffit pas à faire prendre quelque ampleur que ce soit à ce film.
 
Certes, on ne s’ennuie pas, loin de là, mais la trame réductrice de l’histoire pêche quelque peu ! Dommage !
 
Malgré de bons ingrédients : belle photo, décors et costumes plaisants, héroïnes piquantes et séduisantes au caractère bien trempé, « Bandidas » risque de ne guère rester dans les annales cinématographiques.
 
Paris, le 2 Février 2006
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30 janvier 2006 1 30 /01 /janvier /2006 21:44

 Paris – le 30 Janvier 2006 – 15H20 – Quartier de l’Odéon

 
Stephen Frears nous livre son dernier opus « Madame Henderson présente », au charme so british et désuet de la fin des années 30 et au rythme endiablé.
 
Irrévérencieuse à souhait, le touchant personnage de Judi Dench est jubilatoire de bout en bout. Elle forme avec Bob Hoskins un duo émouvant et irrépressible jouant au chat et à la souris pour notre plus grand ravissement.
 
Dommage que le personnage de la charmante Kelly Reilly dont l’histoire et le destin sont quelque peu tirés par les cheveux, ne soit pas un peu plus étoffé.
 
Mis à part ce bémol, l’humour est décapant, corrosif, jouissif. Bref, vous l’aurez compris, les superlatifs ne manquent pas pour dire combien le dernier film de Stephen Frears est d’une drôlerie irrésistible. Chaque réplique fait mouche. Et on en redemande. Le très inspiré Stephen Frears ne se fait heureusement pas prier et nous offre un spectacle lumineux et enthousiasmant. Entre les décors et les costumes magnifiques, la bande originale joyeuse et entraînante, et enfin les répliques finement ciselées, tout est génialement orchestré. Mesdames et Messieurs, le décor est planté pour que vos yeux et vos oreilles soient émerveillés !
 
Alors, n’hésitez plus, vous auriez tort de vous priver d’un tel bijou !
 
Paris, le 15 Mars 2006
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